Analyse de l’organisation du texte
Objectif
L’étude « Onontio le médiateur : La gestion des conflits amérindiens en Nouvelle-France, 1603-1717 » a permis à son auteur, Maxime Gohier, de devenir détenteur d’une maîtrise en histoire à l’Université de Québec à Montréal[1]. Dans ce mémoire remanié, qui porte sur les alliances franco-amérindiennes aux XVIIe et XVIIIe siècles[2], les visées de l’historien sont doubles, mais corrélées. D’abord, l’étude aspire à démontrer la médiation comme étant l’élément central des relations franco-amérindiennes sur l’ensemble du Régime français[3]. Puis, toujours selon l’aspect de la médiation, la recherche explore la perspective plus particulière de la Grande Paix de Montréal comme étant l’enjeu clé des négociations franco-amérindiennes[4]. Si bien que cette étude s’inscrit à la croisée de deux problématiques dont l’objectif est de voir plus en détail le contexte qui a permis aux Français d’établir leur domination auprès des Amérindiens, en analysant les modalités d’application de leur politique, à la fois dans ses succès et dans ses revers[5]. L’idée est donc d’effectuer une analyse de détails des paramètres de la politique de médiation en Nouvelle-France et de mettre en lumière ces limites intrinsèques. Selon Gohier, la médiation « représentait pour les Français un moyen privilégié d’assurer leur domination auprès de leurs alliés, mais trouvait aussi sa légitimité dans le besoin qu’avaient les Amérindiens d’assurer la cohésion au sein de l’alliance, cohésion nécessaire pour résister à l’ennemi commun[6] » : les Iroquois. L’historien ajoute que « si les Français sont parvenus à imposer assez facilement leur logique coloniale aux Amérindiens des Grands Lacs, ils ont dû faire preuve de beaucoup plus de souplesse à l’égard des Iroquois. La Grande Paix de Montréal souligne bien cette capacité iroquoise à influer la politique française, car ce traité représente moins une victoire unilatérale de l’alliance franco-amérindienne qu’un véritable compromis franco-iroquois[7] ». Quant au cadre spatio-temporel l’étude, Gohier amorce son analyse dès 1603, date qui correspond à l’arrivée de Champlain en terres nord-américaines, et la mène à terme en 1717, soit quelques années après la ratification du traité d’Utrecht de 1713 qui scellait la paix entre la France et l’Angleterre[8].
Les moyens
Cette recherche analyse essentiellement l’histoire politique, centrée sur la clause de médiation. Certes, quelques mentions ponctuelles concernant l’économie ainsi que la société sont parfois mises de l’avant par l’auteur, qui aspire à enrichir ses démonstrations, mais au final, l’analyse de l’histoire politique prédomine. C’est la raison pour laquelle Maxime Gohier fait usage de nombreuses sources primaires de types politico-administratives dans ces analyses. De telles sortes que l’essentiel du corpus documentaire de son étude repose sur des archives à caractères politiques, dont les Relations des Jésuites, les récits des voyageurs français du XVIIe siècle ainsi que les correspondances officielles de la Nouvelle-France. L’historien nous explique que ces documents, « fruit de l’élite coloniale, représentent des sources de choix pour comprendre les politiques mises en œuvre par les administrateurs français[9] ». Qui plus est, d’autres sources primaires telles que des documents anglais, provenant du Commissariat des Affaires indiennes d’Albany, ainsi que de nombreux comptes rendus de conférences diplomatiques tenues entre amérindiens et européens sont utilisées. Dans ce cas-ci, il s’agit de documents d’archives déterminants, car ils aident l’auteur à approfondir sa compréhension quant à la politique des Cinq Nations iroquoises. Pour Gohier, ces documents ont une grande valeur historique puisqu’ils sont directement liés à leur utilité administrative. Étant donné qu’ils servaient à faciliter la communication avec les Amérindiens, il devait nécessairement y avoir un rigoureux travail de transcription des paroles autochtones. Ainsi, ces documents nécessitaient d’être faits avec soins afin qu’ils rendent bien compte du sens des discours prononcés. C’est la raison pour laquelle les contemporains avaient intérêt, et tout avantage, à ce que les documents produits rendent aussi fidèlement que possibles les discours des acteurs[10]. C’est également la raison pour laquelle Gohier juge que ces sources d’archives sont pertinentes à son étude. Enfin, il faut être au fait que l’historien utilise un vaste barème de sources secondaires, composés des principales études de l’historiographie sur la question, pour étoffer ces propres analyses et les confronter à ces travaux qui sont déjà enracinés dans l’histoire des relations franco-amérindiennes. Au total, sa bibliographie regroupe 32 sources imprimées, 100 études ainsi que 5 ouvrages de référence. De toute évidence, l’auteur a effectué un travail de recherche avec beaucoup de rigueur et cette grande variété de sources témoigne qu’il a élargi ces champs de connaissances sur le sujet afin de la maîtriser parfaitement.
Le plan
Dans cet ouvrage sur la médiation, Maxime Gohier aborde les différents éléments de son étude par thématiques, et ce, même si les événements choisis sont analysés en quantités suffisantes de manière chronologique. La logique interne de son plan de rédaction n’est pas d’effectuer la chronologie des relations franco-amérindiennes, mais bien de faire comprendre au lecteur, qu’il soit spécialiste de l’histoire autochtone ou néophyte de celle-ci, les principaux aspects tournant autour de la médiation présents dans ces relations. D’abord, Maxime Gohier veut établir des bases solides quant au concept de médiation. De telle sorte que les deux premiers chapitres s’intéressent aux origines de la médiation ainsi qu’à la compréhension que pouvaient en avoir Français et Amérindiens[11]. Pour sa part, le premier chapitre retrace plus précisément les origines de la médiation, pratique juridico-politique, à la fois dans le droit international du XVIIe siècle ainsi que dans les cultures diplomatiques françaises et amérindiennes[12]. Dans ce chapitre, l’historien porte également une attention particulière au rapport de pouvoir sous-jacent à ces pratiques ainsi qu’aux intérêts qu’avaient les partis à s’insérer dans une telle relation de domination. Dans le chapitre suivant, Gohier analyse la place occupée par la médiation dans les relations franco-iroquoises au XVIIe siècle. « Il expose les aspirations similaires des Français et des Iroquois à occuper le rôle de médiateur entre les nations du nord-est de l’Amérique[13] ». Le désir de Gohier est de montrer que la clause de médiation générait tensions et conflits entre français et iroquois. Ensuite, dans les deux derniers chapitres de l’ouvrage, l’auteur s’intéresse plus directement au traité de 1701 ainsi qu’à sa mise en œuvre dans les années qui ont suivis sa rédaction. L’idée est de nuancer les interprétations encrées dans l’historiographie traductionnelle, par l’entremise de la clause de médiation, sur la Grande Paix afin de redéfinir les paramètres de ce traité historique. Pour l’historien, cette paix serait « un compromis franco-iroquois rendu possible par l’ambiguïté entourant la clause de la médiation. Thèse qu’il précise dans la dernière partie de son ouvrage, en étudiant les tensions franco-iroquoises jusqu’en 1717[14] ».
Synthèse du contenu du texte
Dans le premier chapitre de son ouvrage, intitulé La politique française de médiation : genèse et évolution d’un projet impérial en Nouvelle-France, Maxime Gohier se penche sur l’historiographie relative à son objet d’étude. D’entrée de jeux, sous l’angle du droit international, il explique les origines françaises de la médiation. D’abord, l’historien retrace les étapes, caractérisées par une évolution des mentalités, qui ont mené directement au développement de ce type de diplomatie en France. La médiation serait le résultat d’un vaste mouvement intellectuel qui trouve ses origines dans la foulée de la tradition pacifiste des humanistes de la Renaissance. C’est dans l’espoir de substituer une paix si possible universelle à l’insécurité internationale, marquée par des guerres perpétuelles, que les membres de ce mouvement ont élaboré un système juridique, sous forme de théories, permettant d’encadrer les conflits militaires et limiter les effets sur les populations[16]. Pour ces auteurs dits de « l’École du droit naturel », la paix représentait l’état de nature de l’homme, donc l’idéal, caractérisé par la stabilité économique et étatique, de toute société humaine. Maxime Gohier poursuit en abordant les conséquences du droit international sur les mentalités. Il nous démontre que les théories juridiques ont trouvés de larges échos auprès des intellectuelles de l’époque. L’ouvrage d’Emeric de La Croix, dit Crucé, rédigé en 1623 est généreusement présenté pour appuyer ces propos. Selon l’auteur, c’est largement la guerre de Succession d’Espagne, ayant occasionné des centaines de milliers de morts et des effets dévastateurs sur l’économique Européenne, qui a ravivé l’aspiration à une paix universelle et durable. De là l’intérêt soudain pour l’instauration d’une Pax Gallica. Aussi, Gohier démontre que si le contexte intellectuel de l’époque a pu avoir une incidence sur l’action des hommes, il ne faut pas oublier que la gestion des conflits comportait aussi des avantages politiques considérables, tels que la clientélisation, qui alloue une position nettement favorable au médiateur. Ainsi, la médiation correspond également à un instrument de domination propre à une logique d’alliance. L’exemple de Louis XIV est pour le moins révélateur et d’ailleurs, c’est ce qui l’amène à parler de la médiation comme étant la politique impériale française au cœur même de la diplomatie étrangère du Roi-Soleil. L’historien poursuit son analyse de la médiation sous un autre angle. Les trois premières sections concernaient l’espace géographique européen. Cette fois, il regarde cette pratique en Amérique du Nord, avec l’interprétation que les Amérindiens en avaient. L’omniprésence de la guerre chez les nations autochtones ainsi que l’impact et les effets des régulations sociales de la guerre dans les sociétés autochtones sont abordés. La médiation autochtone serait un phénomène lié à l’émergence des confédérations « indiennes ». L’idée ici est de faire comprendre au lecteur que la pratique de la médiation était courante d’un côté comme de l’autre, mais que l’interprétation qu’en faisaient les deux parties pouvait varier.
Puis, l’auteur rentre dans le concret et retrace l’application de la politique de médiation sous Champlain en Nouvelle-France. Il démontre que l’aspect économique était prioritaire dans le processus. En effet, pacifier les Amérindiens représentait un excellent moyen pour les Français d’augmenter leurs nombres de partenaires commerciaux. Qui plus est, la médiation et les alliances avec les nations des Grands Lacs, notamment, permettaient aux Français, victimes de problèmes d’effectifs militaires, de ne pas avoir à recourir à la violence pour asseoir leur autorité et légitimer l’extension de leur Empire en Amérique du Nord. Enfin, Maxime Gohier conclut son premier chapitre en établissant les limites de la médiation. Il démontre bien que, malgré l’avantage apparent de cette diplomatie pour les Français, les Amérindiens, notamment les Iroquois, étaient bel et bien conscients de la relation de domination sous-tendue par la médiation. Ainsi, s’ils acceptaient de s’y plier, c’était nécessairement parce qu’ils répondaient à des intérêts qui leur sont propres. Gohier démontre que dans la majorité des cas, les groupes se pliaient aux décisions d’Onontio parce qu’elles permettaient de demeurer uni face à l’ennemi. De telle sorte que les alliances répondent à la fois aux impératifs coloniaux des Français ainsi qu’aux besoins des autochtones[16].
Le deuxième chapitre de l’étude, La médiation française : un enjeu des guerres franco-iroquoises, divisé en treize sous-sections, est essentiellement centré sur les relations franco-iroquoises. L’historien débute en analysant la perception iroquoise de la médiation. Marquées par des ambitions hégémoniques, les Cinq Nations voulaient jouer un rôle central dans le processus de médiation. Tous comme les Français, ils désiraient instaurer la paix et en être les instigateurs. Si bien qu’en Amérique du Nord au XVIIe siècle, deux aspirants au rôle d’Onontio se confrontent. D’un côté, les Français désirent instaurer la Pax Gallica alors que de l’autre, les Iroquois veulent mettre en place la Pax Iroquoia. De cette situation émergera des conflits armés entre les deux belligérants qui sont tous deux, à de moments différents, vulnérables. Les Cinq-Nation sont victimes de factionnalisme et les Français sont touchés par la destruction de leurs principaux alliés hurons. Dans ce contexte d’un rapport de force en alternance, les négociations s’émissent dans les relations franco-iroquoises à partir de la deuxième moitié du XVIIe siècle. Tous deux sont prêts à conclure une entente, mais aucun ne veut délaisser son intention d’être le médiateur ce qui, à terme, stagne l’évolution des négociations. De leur côté, les Iroquois désirent planter l’arbre de la paix à Onontagué alors que les Français veulent l’enraciner à Montréal. « Campées dans leurs positions respectives, la Confédération iroquoise et l’administration coloniale ne parviennent à conclure aucune entente valable avant la fin du siècle[17] ». Enfin, dans les derniers moments du siècle, les Iroquois, affaiblis et isoler, relancent les pourparlers avec les Français. Conscient du basculement du rapport de force en leur défaveur, l’idée d’une alliance avec les Français prend de plus en plus de place dans la diplomatie iroquoise.
Quant au troisième chapitre, intitulé La Grande Paix de Montréal et la clause de médiation : une entente négociée, il concerne spécifiquement les pourparlers menant à la ratification de la Grande Paix de Montréal de 1701. Dans ces analyses, l’historien tente de comprendre comment les deux parties, Français et Iroquois, en sont venues à un accord. Il s’attache aussi à souligner l’éclairage nouveau que la clause de médiation permet de jeter sur le traité, de même qu’à nuancer l’interprétation qui en est généralement faite dans l’historiographie traditionnelle[18]. Ainsi, Gohier déroge des thèses habituelles et récurrentes en affirmant que jusqu’ici, les historiens qui ont analysé cette conférence ont interprété cet événement comme un catalyseur ayant déclenché l’adoption d’une position neutraliste par les Iroquois, afin de contrebalancer l’autorité anglaise dont les effets étaient alors manifestes[19]. L’historien outrepasse cette interprétation et renouvelle son champ d’études en mettant de l’avant l’idée d’un compromis entre les Français et Iroquois. Il affirme toutefois que cette entente, négociée principalement par le gouverneur Callière, serait parsemée d’interprétations divergentes d’un côté comme de l’autre. Les Français et Iroquois ne partageaient pas la même vision de la paix. Gohier mentionne que, de manière générale, les Iroquois ne croyaient pas être devenus des alliés des Français au même titre que les autres nations, mais jugeaient plutôt que les Français avaient accepté de s’allier à eux selon les modalités similaires, dont l’appui militaire, à celles qui régissaient jusqu’alors la chaîne du Covenant. Les Français, quant à eux, interprétaient aussi la clause de médiation comme un succès diplomatique. Dans leur perspective, ils étaient parvenus à convaincre les Iroquois d’accepter une paix générale, dont ils se portaient eux-mêmes garants, ce qui leur assurait un important prestige ainsi qu’une plus grande sécurité vis-à-vis des Anglais[20]. Ainsi, l’entente se serait conclue sur une ambigüité concernant la clause de médiation, élément central de la Grande Paix selon l’historien[21]. Qui plus est, Gohier défend l’hypothèse comme quoi le gouverneur Callière aurait été conscient de cette ambigüité, issue de la faiblesse inhérente de ces négociations, et qu’il s’en serait servi à son avantage pour gagner en prestige, de par l’application de la Pax Gallica, face à ses supérieurs de France. L’exemple du conflit d’août 1701 concernant l’interprétation distincte franco-iroquoise sur la question des prisonniers témoignerait de cette affirmation.
Le quatrième et dernier chapitre, intitulé Onontio le médiateur : la diplomatie franco-amérindienne au lendemain de la Grande Paix de Montréal, est consacrée à l’application de la clause de médiation dans les seize années suivant la ratification du traité de 1701. L’auteur précise que le fait de poursuivre l’analyse dans le temps, après la Grande Paix, permet de vérifier l’interprétation qu’avaient les acteurs du traité auquel ils avaient adhéré et de cerner les problèmes liés à son application quotidienne. De toutes évidences, plusieurs difficultés émergent suite à la ratification. Théoriquement, l’entente devait mettre un terme aux conflits, mais ce ne sera pas le cas. Les Iroquois mettent de la pression sur Vaudreuil, le nouveau gouverneur de la colonie, afin qu’il applique sa part du contrat. Évidemment, cela implique la demande d’assistance militaire puisque les Iroquois sont victimes de raids sporadiques des nations de l’Ouest des Grands Lacs, qui sont également alliés des Français. Ces derniers se retrouvent donc dans une impasse politique et cela fragilise concrètement l’alliance franco-amérindienne. Vaudreuil parviendra, par la diplomatie, à empêcher une intervention française, mais il est résultera d’une grande perte de crédibilité des Français face à leurs alliés autochtones. Gohier démontre qu’il s’agissait en fait d’une stratégie iroquoise pour compromettre les relations d’alliances entre les Français et les autres nations amérindiennes ce qui, à terme, affecterait grandement la légitimité du rôle d’Onontio des Français. Au final, Vaudreuil a su contrer les stratégies iroquoises, grâce à son tact politique, et éviter de déclencher une nouvelle guerre. Il a ainsi contraint les Iroquois à abandonner, à partir de 1717, leur ambition de mettre la médiation française au service de leurs intérêts[22]. Ainsi, l’aspiration iroquoise change, mais ces derniers désirent encore occuper une position prédominante au sein de l’alliance franco-amérindienne ; ils ne faisaient qu’adopter une nouvelle stratégie pour y parvenir, stratégie basée cette fois sur la diplomatie plutôt que la force[23]. Finalement, l’historien conclut son ouvrage en effectuant un bilan de ces principales conclusions, que nous avons nous-mêmes mises de l’avant de cette section.
Bilan
D’abord et avant tout, l’historien Maxime Gohier, dans son mémoire de maîtrise remanié « Onontio le médiateur : la gestion des conflits amérindiens en Nouvelle-France, 1603-1717 », nous transmet un héritage historiographique clair et renouveler : De l’arrivée des Français en Amérique du Nord jusqu’au 18e siècle, les relations entre Amérindiens et Français sont centrées sur le principe de la médiation. Malgré la fervente intention des Français d’occuper le poste de médiateur, qui correspond à une position de supériorité, il ne faut pas négliger l’importance du rôle des autochtones dans le maintien de la colonie de la Nouvelle-France. De plus, des acteurs importants, tels que les Iroquois, se sont imposés concrètement par différentes stratégiques, passant de la force à la diplomatie, dans la géopolitique ainsi que dans les processus de négociations ayant mené à la Grande Paix de Montréal de 1701. Cette entente qui, au final, n’était le résultat que d’une ambigüité volontaire ayant affecté largement les relations franco-amérindiennes dans les années qui ont suivis.
Bibliographie
I. Compte rendu
BROUIN-VERRET, Véronique et Manuel TRUFFY (2008). « Maxime Gohier, Onontio le médiateur. La gestion des conflits amérindiens en Nouvelle-France. 1603-1717. Les édition du Septentrion, Québec, 2008, 246 p. ». Recherches amérindiennes au Québec, 38(2-3), pp. 153-154.
II. Étude
GOHIER, Maxime. « Onontio le médiateur. La gestion des conflits amérindiens en Nouvelle-France. 1603-1717 ». Les éditions Septentrion, Québec, 2008, 246 p.
III. Site internet
Septentrion, « Onontio le médiateur. La gestion des conflits amérindiens en Nouvelle-France. 1603-1717 ». [En ligne], https://www.septentrion.qc.ca/catalogue/onontio-le-mediateur, consulté le 20 mars 2018.
1) Septentrion, « Onontio le médiateur. La gestion des conflits amérindiens en Nouvelle-France. 1603-1717 ». [En ligne], https://www.septentrion.qc.ca/catalogue/onontio-le-mediateur, consulté le 20 mars 2018.
2) Véronique Brouin-Verret et Manuel Truffy (2008). « Maxime Gohier, Onontio le médiateur. La gestion des conflits amérindiens en Nouvelle-France. 1603-1717. Les édition du Septentrion, Québec, 2008, 246 p. ». Recherches amérindiennes au Québec, 38(2-3), p. 153.
3) Maxime Gohier, Onontio le médiateur : La gestion des conflits amérindiens en Nouvelle-France 1603-1717, Québec, Septentrion, 2008, p. 16.
4) Ibid.
5) Ibid
6) Ibid.
7) Ibid. p. 16-17.
8) Ibid. p. 19.
9) Ibid. p. 17.
10) Ibid., p. 18.
11) Ibid., p. 20
12) Ibid.
13) Brouin-Verret et Truffy. « Maxime Gohier, Onontio le médiateur », p. 153.
14) Ibid.
15) Gohier, Onontio le médiateur, p. 25.
16) Brouin-Verret et Truffy. « Maxime Gohier, Onontio le médiateur », p. 153.
17) Ibid.
18) Gohier, Onontio le médiateur, p. 21.
19) Ibid. p. 159.
20) Ibid. p. 168.
21) Ibid. p. 170.
22) Ibid. p. 220.
23) Ibid.
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